« L’Afrique est le continent avec le plus fort potentiel en énergies renouvelables »
Dixit Nicolas Hulot, après l’inauguration de la centrale solaire de l’université Kenyatta – un projet soutenu par le gouvernement français pour former des jeunes ingénieurs et techniciens africains et ceux de la diaspora qui souhaitent s’investir dans le domaine des énergies renouvelables aux métiers d’avenir: Energies renouvelables, l’efficacité énergétique, le génie climatique et le génie électrique, dont les formations sont dispensées dans les locaux de l’Institut Français de Formation en Énergétique tant en Ile de France Iffen-France à Villeneuve Saint Georges, qu’en « Guyane, au Maroc et bientôt en Arabie Saoudite.
Le ministre français de la transition écologique et solidaire, Nicolas HULOT était en visite de travail au Kenya à Nairobi la semaine dernière où il a rencontré des personnalités du paysage politique et bien sur aussi les quelques acteurs de la société civile dont Wanjira Maathai, qui continue le combat de sa mère Wangari Maathai, biologiste, professeur d’anatomie en médecine vétérinaire et militante politique et écologiste, qui avait reçu le 8 octobre 2004, le prix Nobel de la paix pour « sa contribution en faveur du développement durable, de la démocratie et de la paix ». C’est la première femme africaine à recevoir cette distinction.
Wanjira agit pour la protection de la biodiversité et lutte avec acharnement sur le changement climatique.
L’engouement sur les mises en place des centrales solaires en Afrique devient une réalité, cependant, pour ce faire, les dirigeants africains et leurs partenaires européens doivent accompagner l’Afrique au niveau des formations avec des experts.