Après le One Planet Summit 2017 de Paris, les initiatives !
Avec un total de 127 états représentés à Paris lors du One Planet Summit, avec lequel une soixantaine de chefs d’Etat ou de gouvernement et quelques personnalités médiatiques dont Arnold Schwarzenegger, Bill Gates, Michael Bloomberg, Sean Penn, Carlos Ghosn, et le célèbre acteur Léonardo DiCaprio confère l’article : https://iffen.fr/oneplanetsummit/, l’évènement a été un grand succès planétaire puisqu’il s’agit de préserver l’humanité face aux désastres orchestrés par l’exploitation des énergies fossiles entre autres. un triomphe politique du Président Emmanuel Macron dira-t-on dans divers partis politiques français de gauche comme de droite et de quelques fidèles du président de la république française qui pense que ce dernier a le pouvoir de grouper les initiatives.
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Sa vie et ses films sont marqués par cet engagement. Léonardo DiCaprio soutient les organisations dédiées à l’écologie et le développement durable.
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Sans étonnement, tous les conférenciers ont tenu à rappeler leur volonté de s’engager pour limiter le changement climatique.
C’est à John Kerry (ancien secrétaire d’Etat des Etats-Unis), que revient les acclamations car il a pris position pour l’arrêt d’investissements dans les énergies fossiles. Position suivie par plusieurs intervenants et institutions comme la Banque mondiale et d’autres banques de développement, mais aussi la BNP) qui ont indiqué qu’elles allaient cesser de soutenir les investissements dans ce domaine.
Parmi les divers sujets qui ont fait l’objet de discussions, voici les plus soulignés.
Mobiliser des investissements privés en synergie avec les investissements publics. Le sujet le plus souvent évoqué a été celui du financement des énergies renouvelables et des infrastructures liées. C’est sans doute un domaine qui se prête bien aux innovations technologiques et aux financements privés. L’élargissement de ses financements à d’autres enjeux (alimentation, santé…) apparaît beaucoup plus problématique.
Comment changer d’échelle et passer de petits projets à des actions plus importantes ? Comment mobiliser les « gros » financements (Banques de développement, grandes entreprises) sur ces petits projets, ayant souvent un modèle économique fragile ? L’idée de créer et de proposer des « grappes » de projets a été développée en laissant la question de l’ingénierie sociale et technique en suspens.
Fixer un prix du carbone à un niveau suffisamment incitatif (40 $ par tonne). Plusieurs annonces de mise en place d’un tel dispositif ont été faites dans ce sens par la Chine et les autres pays d’Amériques hors USA de Donald Trump et une coordination de ces initiatives se mettront en place d’ici le premier trimestre de l’année 2018.